samedi 22 février 2014

Une sémaine après san valentin (version français)

Chaque après fête amène avec soi beaucoup de réflexions, car terminé l’amusément la réalité reprend son place. Et pour San Valentin vaut la même chose, un jour attendue par quelqu’un comme « aujourd’hui- même s’il y a des milliards de choses à faire- je dois m’inventer quelque chose pour celui là » ou , ces derniers sont les célibataires, « ce soir- amies et glace ».

Ce post ne sera pas trop joyeux et pour ses contenus, très intéressants comme même, et pour la langue, le français, pas la mienne. En plus, on sait la première chose qu’on perd en utilisant une langue étrangère est l’ironie.

1) Moi le partner et la vérité.  En étant amoureux, une des maximes espérance est celle de connaitre tout du partner, de lui comprendre dans toutes ses parties. Mais c’est une espérance vaine, car s’une autonomie de la personne existe elle se manifestera juste dans la possibilité pour le partner de tenir pour soi des sentiments ou des pensées. Et je ne parle pas des trompes ou de sentiments simulé, mais simplement de la présence d’un espace où l’individu est seule avec soi même, et libre. Un coin inviolé par les autres. En raison de ceci on peut comprendre l’importance que la sincérité recouvre dans la relation : parce que seulement la personne sait vraiment ce qu’il y a dans son âme.

Jacques-Louis David, Mars désarmé par Venus et les Graces,
Gallerie des Beaux Arts, Bruxelles, 1824

2) N’exige pas de l’autre plus de ce qu’il peut te donner.  Imagination, espérances et rêves portent souvent à demander des actions ou des comportements jusqu’a les exiger. Mais on put pas faire ça : il faut être contents et satisfaits de ce qu’il arrive, car rien est du même dans une relation, et surtout quand ce qu’on veut réponds à des rêves trop grandes ou « fantasques ».
En tous cas, si ce qu’on voudrais ne vien pas…..

3) Aimer est laisser libre. Ceci est le concept le plus important. S’on  aime une personne par ce qu’il est et pas par ce qu’il donne, on est disposé à accepter sa liberté, sa autonomie et à l’aider pour la conquérir. N’importe où il ira, où pourquoi, on l’acceptera, même si la liberté l’amènera avec soi loin par des rues à nous inconnues.


Guido Reni, Atalanta ed Ippomene, Museo di Capodimonte Napoli, 1620-1622

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